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Les îles de Guadeloupe, mais aussi Saint-Martin et Saint-Barthélemy sont à nouveau placées en vigilance jaune, pour “fortes pluies et orages”.

Saint-Martin et Saint-Barthélemy

L’ouragan Tammy s’éloigne vers le Nord, mais les collectivités du Nord de l’arc antillais restent sous l’influence de bandes spiralées encore chargées en pluies orageuses.

Le temps reste très maussade et chargé en pluies orageuses. Une amélioration plus franche est attendue dans la journée.

Depuis dimanche, les cumuls de pluies relevés sont de l’ordre de :

• 115 mm à Grand-Case, dont 60 mm en 6 heures ;
• 91 mm à Marigot, dont 52 mm en 6 heures et 35 mm en 3 heures, dans la nuit de dimanche à lundi ;
• 47mm à Gustavia, dont 12 mm en 1 heure, dimanche soir.

La Guadeloupe

Dans l’archipel guadeloupéen, c’est la panne d’Alizé, dans une atmosphère légèrement instable, qui est source des pluies à venir.

En effet, à partir de la mi-journée, la faiblesse du vent et les brises côtières favorisent le déclenchement d’averses assez fortes, touchant principalement la montagne, la Côte-sous-le-vent (secteur Deshaies/Pointe-Noire), voire également les Grands-Fonds et le nord de la Grande-Terre.

En soirée, ces averses risquent de s’étendre vers le bord de mer, notamment vers Capesterre-Belle-Eau et Trois-Rivières.

La fin d’événement est annoncée pour ce mardi soir (24 octobre 2023), par les prévisionnistes de Météo France.

Lors du passage de l’ouragan Tammy sur la Guadeloupe, la Désirade a été la seule île de l’archipel à faire les frais du phénomène, dans un premier temps. En effet, bien avant les pluies diluviennes qui se sont abattues sur le territoire, le dimanche 22 octobre 2023, des vents violents ont balayé la dépendance, la veille.
Au final, plusieurs arbres ont été déracinés, des panneaux de signalisation et des poteaux électriques ont été penchés, voire couchés et quelques infrastructures ont été endommagées.

Une grande partie de la commune a aussi été privée de réseau téléphonique et d’électricité, durant plusieurs heures.
Parmi les sinistrés, une restauratrice, dont le site a été dévasté, a “tout perdu”.

À LIRE AUSSI : EN IMAGES. Ouragan Tammy : les plaies infligées à La Désirade – 21/10/2023.

Après un premier bilan, 48 heures après le phénomène, le maire de La Désirade, Loïc Tonton, expliquait qu’il recevait encore des appels de personnes sinistrées.

Dès dimanche, habitants, services communaux et renforts dépêchés sur place par les autorités locales se sont retroussé les manches, afin d’effacer les stigmates laissés par le phénomène.

Pour rappel, deux barges sont parties hier du port de Jarry avec, à leur bord, des équipements de déblaiement et de réparation, des militaires du Régiment du service militaire adapté (RSMA), ou encore des agents d’EDF Archipel Guadeloupe et des opérateurs des télécommunications.
Le préfet Xavier Lefort s’est aussi rendu sur place.

Plus de 70 intervenants sont déployés dans l’île ; ils œuvrent par petits groupes.
Face à l’ampleur des dommages, ils procèdent par priorités : il a fallu d’abord désenclaver l’espace public, ou encore venir en aide à des particuliers dont les habitations étaient obstruées.

Je pense qu’on aura une belle semaine de travail acharné, qui permettra peut-être pas d’assainir (il y a tellement faire), mais au moins de fluidifier un peu plus l’espace.

Loïc Tonton, maire de La Désirade

La houle générée par Tammy a aussi été significative, à La Désirade. Le littoral a été considérablement impacté.

Les enrochements existants ont résisté. Là où il n’y a pas d’enrochement, c’est surtout sur les plages, qui sont très impactées. Nous avons constaté un recul du trait de côte très très très important. Ça va être l’un des sujets à aborder avec le ministre.

Loïc Tonton, maire de La Désirade

En effet, le ministre délégué en charge des Outre-mer, Philippe Vigier, compte se rendre sur l’île, mardi, dans le cadre de sa visite officielle en Guadeloupe.

À LIRE AUSSI : Visite ministérielle post-Tammy : Philippe Vigier en Guadeloupe dès lundi – 22/10/2023.

Loïc Tonton compte aussi aborder avec lui un problème maintes fois déploré : l’absence sur l’île d’un médecin résident. Pour l’élu, “La Désirade ne peut plus être sans médecin. Ce n’est plus possible !”.

Des images que les riverains de Capesterre à Marie-Galante ont vues directement avec beaucoup de fatalisme. Rien n’a été fait durant le passage du cyclone pour sortir les filets avant la montée des vagues. Rien, en tout cas, pas ce qui était prévu lors de leur installation.

En septembre dernier, les autorités tiraient un bilan après deux mois d’installation de ces filets destinés à faire barrage aux arrivages de sargasses. La commune de Capesterre de Marie-Galante est en effet l’une de celles qui subissent le plus l’arrivée des algues brunes avec toutes les conséquences qui en découlent.

Mais en même temps, et compte tenu de la fragilité du dispositif, il était aussi prévu qu’ils soient enlevés en cas de fortes intempéries. Il n’en a donc rien été.
De fait, plusieurs questions se posent quant à l’entretien et la protection de ces filets. Par délégation, la commune qui en a la responsabilité a confié cette mission à un prestataire. Il s’agira donc de savoir ce qui n’a pas fonctionné.

Le 30 septembre dernier, le préfet et les services compétents s’étaient rendus sur place pour constater, aux côtés du maire de la commune, la fiabilité du dispositif.
Au départ il était d’ailleurs prévu que soient installés 300 mètres de linéaires en face du boulevard maritime et 400 mètres le long de la plage de Petite Anse pour un coût estimé à 375 000 euros, dont 14000 dévolus à l’entretien de ces filets.
En réalité, ce sont les 700 mètres qui ont été déployés au large du boulevard maritime. Il faudra donc tout reprendre. D’abord réparer l’actuel filet et espérer une autre subvention pour que les 400 mètres soient vraiment installés face à la plage de Petite Anse et surtout, que ces filets, là où ils sont, soient vraiment entretenus et protégés.

Après un samedi passé à craindre les effets de l’ouragan Tammy, puis un dimanche à essuyer les pluies diluviennes et les inondations causées par le phénomène, l’archipel retrouve un ciel plutôt dégagé, ce lundi. 

Dans un communiqué, Météo France indique que Tammy est désormais loin, au nord de l’Arc des Petites-Antilles.
Les orages qui traînent dans son sillage ne concernent plus l’archipel guadeloupéen.

En passant samedi sur l’Est de la Désirade au stade d’ouragan de catégorie 1, il a généré des vents très forts qui se sont peu propagés plus à l’Ouest, la structure dissymétrique du système ayant cantonné les vents les plus forts à l’Est de son centre.
Son impact a été beaucoup plus conséquent en termes de pluie au passage des bandes spiralées à l’arrière du système, environ 18 heures après le passage du centre.

Une amélioration avant le retour du ciel gris

La semaine prochaine, après une belle amélioration ce lundi, le temps s’annoncera encore assez humide avec, à partir de demain (mardi 24 octobre), un régime de panne d’alizé pouvant occasionner de fortes averses localisées puis une fin de semaine probablement assez pluvieuse.

Données observées pendant l’épisode

Cumuls sur 3 jours (72h) mesurés à 9 heures, ce matin :

• 302 mm à Capesterre B/E (Carbet) dont 111 mm en 3h.
• 259 mm à Gourbeyre (Gros Morne Dolé) dont 142 mm en 3h et 83 mm en 1h.
• 246 mm à St-Claude (Matouba) dont 110 mm en 3h.
• 219 mm à Vieux-Habitants (Gendarmerie) dont 138 mm en 3h et 80 mm en 1h.
• 208 mm à Baillif dont 153 mm en 3h et 69 mm en 1h.
• 196 mm à Petit-Bourg (Gros Morne/Montebello) dont 72 mm en 3h.
• 178 mm à St-Anne (Deshauteurs) dont 76 mm en 3h et 39 mm en 1h.
• 164 mm à Vieux-Bourg dont 128 mm en 3h et 83 mm en 1h.
• 162 mm au Gosier (Leroux) dont 64 mm en 3h.
• 147 mm Morne-à-l’Eau (Blanchet) dont 59 mm en 3h.
• 135 mm au Moule (Lauréal) dont 60 mm en 3h.
• 130 mm aux Abymes (Chazeaux) dont 54 mm en 3h.

Le pic d’intensité des pluies s’est produit dimanche en fin de nuit et début de matinée.

Concernant la mer, le houlographe de la Grande-Vigie a enregistré les plus hautes vagues, samedi en début d’après-midi : creux moyens de 4m70 avec ponctuellement un pic à 9 mètres.

Concernant le vent : pas de mesures disponibles à La Désirade.

La Guadeloupe, la Martinique, Saint-Martin et Saint-Barthélemy sont des territoires fréquemment concernés par des épisodes de pluies intenses qui, souvent, génèrent des inondations. Dès lors, des dégâts sont à déplorer sur les infrastructures routières, des biens publics, des habitations, ou encore au détriment des exploitations agricoles et d’élevage, sans compter les vies humaines mises en danger.

Après ces phénomènes dévastateurs, le retour à la normale n’est possible qu’à force de coûteuses réparations et actions de sécurisation des sites.

Ces dernières années, de telles catastrophes se sont révélées nombreuses, en Guadeloupe notamment. On se souvient notamment des inondations du 30 avril 2022 dans quatre communes de la Grande-Terre (Les Abymes, Pointe-à-Pitre, Le Gosier et Morne-à-l’Eau), des ravages faits par la tempête tropicale Fiona la nuit du 16 au 17 septembre 2022 dans 22 communes de l’archipel, des torrents provoqués par la tempête Philippe, particulièrement dans le Sud Basse-Terre la nuit du 2 au 3 octobre et, plus récemment, des pluies diluviennes apportées par l’ouragan de catégorie 1 Tammy hier (22 octobre 2023) dans les communes du Sud, tant de la Riviéra du Levant que de Grand Sud Caraïbe.

À chaque fois, la population, résiliente par la force des choses, se relève, nettoie, restaure… et revit.
En amont et pendant ces évènements, surtout durant la saison cyclonique, les habitants de l’archipel et de ses îles voisines savent généralement quel comportement adopter ; on peut dire que la prévention est globalement maîtrisée localement.

Le gouvernement veut s’en assurer.
Conscients de la répétitivité des intempéries et de leurs conséquences, le ministre de la Transition écologique et de la cohésion des territoires, Christophe Béchu et le ministre délégué en charge des Outre-mer, Philippe Vigier, ont conjointement lancé une campagne de prévention sur les pluies intenses et les inondations Outre-mer. Cette opération, commencée le 20 avril dernier, comporte deux volets, dont le second concerne les Antilles : en Martinique (du 20 octobre au 20 novembre 2023), puis en Guadeloupe, à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy (du 3 décembre 2023 au 3 janvier 2024).

Dans le contexte de survenue de catastrophes naturelles violentes, la campagne de prévention prend une importance capitale, pour sensibiliser et protéger la population face aux risques d’inondation.

Communiqué de Christophe Béchu et Philippe Vigier – 23/10/2023.

Sensibiliser la population, promouvoir la résilience individuelle

Les ministres impliqués dans la campagne d’information et de sensibilisation aux pluies intenses et aux inondations rappellent que “nous pouvons nous en protéger en adoptant les bons comportements“.

Il s’agit donc de marteler des messages sur les risques encourus, “afin d’éviter des réactions contre-intuitives” comme par exemple :

• aller chercher ses enfants à l’école, alors qu’ils y sont en sécurité ;
• utiliser son véhicule (y compris de type 4X4), qui pourrait être emporté, notamment lors de passages de gués, en cas de montée soudaine des cours d’eau ;
• aller sauver ses animaux, au détriment de sa propre sécurité.

Le risque s’anticipe ; d’où le rappel des bons réflexes :

Zoom sur les écoles, lieux sûrs pour les enfants

Dans le cadre de cette campagne, un accent est mis sur l’existence d’un Plan particulier de mise en sûreté (PPMS) des élèves, prévu dans chaque établissement scolaire.
Le but est de faire entendre aux familles que leurs enfants sont en sécurité à l’école, même en cas d’inondation. Les chefs d’établissements et les équipes pédagogiques sont, par ailleurs, préparés et formés à la prise en charge des élèves en cas d’évènement majeur. Il faut donc attendre la consigne des autorités avant d’aller les chercher.

Ils ont dit

Ensemble, nous pouvons renforcer notre résilience en cas d’inondation. Se préparer à l’avance et adopter les bons réflexes peut sauver des vies. 

Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la cohésion des Territoires.

Comprendre les risques et adopter les bons comportements permet à chacun d’assurer sa propre sécurité et celle des autres. Cet élan sera renforcé grâce à la campagne de prévention sur les fortes pluies et les inondations en Outre-mer, pour que chaque citoyen ultramarin dispose des bons réflexes.

Philippe Vigier, ministre délégué chargé des Outre-mer

Le gouvernement a décidé d’enclencher la procédure accélérée de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle après le passage de l’ouragan Tammy en Guadeloupe. Frappés par des pluies diluviennes ce week-end, de nombreux quartiers ont été inondés, surtout dans le Sud Basse-Terre et le Sud Grande-Terre. Des coulées de boues ont également provoqué des éboulements de ponts et coupé de nombreuses routes. “L’État sera pleinement mobilisé aux côtés des Guadeloupéens et de leurs élus”, a promis Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, sur X (ex-Twitter).

Face aux intempéries, et alors que la situation météorologique commence seulement à s’améliorer dans l’archipel, Gérald Darmanin a annoncé que la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle allait suivre un processus accéléré afin de répondre à l’urgence de la situation et permettre aux Guadeloupéens de demander des indemnisations s’ils ont subi des dégâts.

Cette reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle était notamment une demande du député LIOT de la Guadeloupe Olivier Serva, qui a réclamé dans un courrier adressé au ministre de l’Intérieur dimanche à ce “que les victimes soient rapidement indemnisées”.

De son côté, le ministre délégué aux Outre-mer Philippe Vigier doit se rendre en Guadeloupe lundi dans la journée, pour une visite de trois jours, où il sera notamment question de la réponse à apporter face aux dégâts matériels causés par la tempête.

Petit à petit, l’ouragan Tammy et ses effets se dissipent, non sans avoir laissé un cruel souvenir pour beaucoup de Guadeloupéens. 

Des pluies diluviennes ont entraîné des inondations dans de nombreuses communes, notamment à La Désirade, le sud Basse-Terre ou au Gosier. Pour certains habitants ou commerçants, les dégâts sont impressionnants. 

Au petit matin, ce lundi 23 octobre, les conditions météorologiques s’améliorent. À 5 heures, l’ouragan Tammy, toujours de catégorie 1, était situé à 370 km au nord-nord-ouest d’Anguilla et poursuivait sa route vers le nord à 17km/h, avec des vents soutenus de 130 km/h.

Évolution prévue

En conséquence, l’amélioration gagne progressivement l’archipel, annonce Météo France. Toutefois, un risque d’averses est évoqué. Il s’amoindrit au fil de la matinée.

Le temps sec dominera généralement ce lundi, à l’exception de quelques averses en cours d’après-midi. Celles-ci seront de nouveaux présentes la nuit prochaine, par moments soutenues, mais dont les cumuls ne seront pas significatifs, conclut le centre de prévisions.

Selon les données de Météo France, quelques averses circulent dans le flux de sud-sud-est, avec des cumuls non significatifs.

Le ministre délégué en charge des Outre-mer a dû adapter le programme initialement prévu de sa visite officielle en Guadeloupe, à Saint-Martin et Saint-Barthélemy ; entre-temps, l’ouragan Tammy est passé par l’archipel guadeloupéen et a laissé son empreinte sur place, à savoir d’importants dégâts matériels.
Philippe Vigier arrivera donc demain (lundi 23 octobre 2023), au lendemain d’un houleux week-end, pour un peu moins de trois jours.

Tammy, nouveau point au programme

L’actuel occupant de la rue Oudinot souhaite pouvoir échanger avec tous les acteurs qui ont été mobilisés, durant les évènements liés au phénomène climatique : les élus locaux, comme les acteurs des services de l’Etat.
Il ira aussi au-devant des militaires du 33^ème régiment d’infanterie de marine (RIMA) et du régiment du service militaires adapté (RSMA).
Avec le président du Département, Guy Losbar, le ministre délégué doit faire le point sur les conséquences du cyclone et les besoins du territoire, lundi soir, à compter de 20h15, à la résidence départementale du Gosier.
Philippe Vigier se rendra aussi au Centre opérationnel départemental d’incendie et de secours (CODIS), pour rencontrer et remercier les personnels qui ont œuvré à la mise en sécurité de la population, entre samedi et dimanche.
Sur le terrain, notamment à La Désirade (mardi en fin de matinée), il constatera les conséquences de l’ouragan Tammy, aux côtés des élus et des habitants.

Agriculture et changement climatique, plan eau, ou encore soutien des collectivités

Comme le veut toute visite ministérielle, plusieurs rencontres et réunions d’échange sont par ailleurs annoncées, notamment avec le président de Région, Ary Chalus, lundi après-midi à l’espace régional du Raizet. Ce, après une première entrevue, vendredi dernier, à Paris, où le projet de loi de finances 2024 était au cœur de leur discussion.

Parmi les temps forts de ce déplacement, il était déjà question d’un discours de clôture des travaux du séminaire co-organisé par l’Office de développement de l’économie agricole des départements d’Outre-mer (ODEADOM) et la Chambre d’agriculture sur le thème “Agricultures ultramarines et changement climatique” ; ce sera lundi à 18h00, au Gosier

“Ce colloque rassemble les acteurs de tous les territoires ultramarins, pour dessiner des solutions et donner des perspectives pour affronter les défis du changement climatique”, précise le service presse du ministre délégué.

La signature du Contrats de redressement Outre-mer pour les communes (COROM) de Capesterre-Belle-Eau devrait se faire mardi après-midi, en mairie.

Mardi, à 17h00, selon le programme prévisionnel, le ministre Philippe Vigier se rendra à l’usine Beauvallon, à Basse-Terre, pour présenter le “plan eau”, en présence de toutes les parties prenantes. L’occasion d’échanger sur les conséquences récurrentes des phénomènes météorologiques sur l’approvisionnement en eau. “En effet, le territoire traverse une crise de distribution et d’assainissement de l’eau, exacerbée par les phénomènes météorologiques. C’est pourquoi Philippe VIGIER souhaite réunir toutes les parties prenantes, après le contrat d’accompagnement signé avec l’État en mars dernier”, explique le service presse.

La visite est censée se prolonger dans les collectivités de Saint-Martin et Saint-Barthélemy ; cette partie du programme reste à préciser.