Suite aux récentes intempéries, le cours de la rivière Cacao a subi d’importantes modifications, impactant significativement la production en eau potable de l’usine alimentée par le captage. Neuf zones de la communes vont subir des coupures jusqu’à vendredi.
C’est reparti pour un tour. Comme à chaque épisode pluvieux, il y en a beaucoup à cette époque de l’année, les usines de production d’eau potable sont impactées. Cette fois-ci c’est la rivière Cacao située sur la commune de Sainte-Rose qui est concernée, son cours ayant subi de profondes modifications après les averses de ces derniers jours.
L’usine alimentée par le captage ne peut plus produire. “Par conséquent, des interruptions dans la distribution de l’eau se font ressentir ce mercredi 20 novembre 2024″, annonce la Syndicat Mixte de Gestion de l’Eau et de l’Assainissement de Guadeloupe (SMGEAG).
Le retour à la normale est prévu seulement vendredi 22 novembre en fin de journée. Le SMGEAG indique que ses équipes sont mobilisées sur le terrain pour des interventions rapides.
Neuf secteurs sont concernés par ces coupures : Cacao / Duportail / Bône / Cadet / Bis / Bois Rada (Belle Rivière) / La Boucan / Belle Plaine / Une partie de Conodor.
Suite aux dernières pluies, des taux de turbidité élevés et des taux d’aluminium non conformes ont été constatés. Conséquence des restrictions de consommations sont mises en place sur la commune jusqu’à plus ample informé.
Le temps se dégrade à nouveau. Alors que la Martinique est en vigilance jaune depuis ce lundi matin, Météo France Martinique accentue le niveau qui passe à l’orange dans son dernier bulletin de suivi de 16h19. “L’atmosphère demeure humide et instable” alors même que “les sols sont gorgés d’eau”.
Vous l’avez remarqué, le temps a changé en ce milieu d’après-midi. Pluies et tonnerres sont bien présents. “Dans un contexte d’Alizés globalement faibles, l’atmosphère demeure humide et instable sur notre Île. De plus les sols sont gorgés d’eau avec l’activité pluvieuse observée dimanche soir“, indique Météo France dans son dernier bulletin de suivi de vigilance.
Le niveau de vigilance est désormais orange pour fortes pluies et orages.
Au cours des prochaines heures, des averses venant du sud-est transitent par notre île. Ces averses sont peu mobiles, localement de forte intensité et accompagnées de coups de tonnerre : elles peuvent intéresser n’importe quelle commune de la Martinique. Ces averses peuvent générer des cumuls de pluie de l’ordre de 50 à 80 mm, localement 100 mm. En cours de nuit, il est attendu une période d’accalmie pendant laquelle l’activité pluvieuse est en forte baisse et se limite à quelques averses passagères. Puis en seconde partie de nuit, de nouvelles averses de forte intensité peuvent intéresser notre territoire. Ce sont de nouveaux cumuls de 50 à 80mm, localement 100 mm qui sont possibles par endroits. Le tonnerre gronde par moment. En cours de matinée, une nouvelle baisse significative de l’activité pluvio-orageuse est prévue. Ces nouvelles pluies sont attendues sur notre territoire alors que les sols sont déjà saturés par endroits.
Le temps devrait s’améliorer d’ici la fin de journée du mardi 19 novembre 2024.
Selon Météo France, les cumuls de pluie estimés et observés entre 13h et 16h sont de l’ordre de 30 à 60 mm sur l’extrême nord de la Martinique et sur les hauteurs de Fort-de-France.
La Martinique est passée en vigilance orange pour fortes pluies et orages ce dimanche soir (17 novembre).
Une masse d’air humide et très instable dans un flux de sud-est est observée. De plus, des dépressions, qui circulent en Atlantique Nord, génèrent une longue houle énergétique de secteur Nord à Nord-Est sur l’extrême nord de l’île.
Évolution prévue
En raison d’une masse d’air très humide, des averses localement fortes se déclenchent cette nuit. Ces averses pourront être localement orageuses. Une activité marquée est attendue en deuxième partie de nuit à proximité du littoral Atlantique et pourrait venir impacter le territoire. Une amélioration temporaire est attendue demain en matinée avec des averses éparses et modérées. De nouveau, à la faveur de vent faible, des averses soutenues à localement fortes se déclenchent demain dans l’après-midi avec un pic d’activité pour la nuit de lundi à mardi. Une amélioration progressive se dessine pour mardi dans la journée.
Les sols détrempés et les cumuls de cette après-midi sont des facteurs aggravants. Les averses pourront avoir un caractère stationnaire et sont susceptibles d’engendrer des cumuls de pluies significatifs en peu de temps. Cette situation météorologique permettrait très localement des cumuls de précipitations de plus de 50 mm en 3h voire 80 mm en 3h. Des fortes rafales sont possibles sous les averses orageuses.
Entre Grand Rivière et le Prêcheur, la longue houle énergétique de Nord-Est avec des périodes de 10 à 12s se maintient avec des creux moyens entre 0m50 et 1m00. Elle devrait s’atténuer avec des creux moyens à la baisse mais l’agitation devrait perdurer.
Effets attendus :
Sollicitations du mouillage des bateaux
Déferlements de rouleaux sur les côtes exposées.
Submersions localisées sur les zones basses du littoral, notamment du Prêcheur à Grand-Rivière.
Météo France active la vigilance jaune pour fortes pluies et orages ce dimanche 17 novembre en Martinique. La côte nord-ouest de l’île reste en vigilance jaune pour vagues-submersion. Des averses assez soutenues, voire orageuses sont attendues.
Ce dimanche 17 novembre, Météo France déclenche la vigilance jaune pour “fortes pluies et orages” en Martinique. Sur la façade Caraïbe, la vigilance jaune pour “vagues-submersion” demeure.
À la faveur d’un flux faible de Sud-Est des brises de mer se mettent ce matin en place sur le littoral caribéen favorisant la formation de bourgeonnements sur les hauts mornes qui vers la fin de matinée vont générer des averses assez soutenues voire orageuses.
Ces pluies ne devraient s’estomper qu’en cours d’après-midi.
“Même si les précipitations s’espacent en soirée et la nuit prochaines de nouvelles ondées possiblement orageuses sont possibles demain en journée”, précise le Centre Météorologique.
De plus, les dépressions circulent toujours en Atlantique Nord et continuent de diriger une longue houle énergétique de secteur Nord à Nord-Est sur l’extrême nord de l’île.
En fin de matinée, les précipitations initialement éparses deviennent plus présentes et localement soutenues sur les reliefs mais aussi localement en plaine. Les cumuls prévus peuvent atteindre localement plus de 50 mm en 3h. Les ondées s’estompent en soirée mais sont susceptibles de revenir demain en journée.
De petites inondations sont localement probables et des crues soudaines sont possibles dans le lit des rivières.
Entre Grand Rivière et le Prêcheur, la longue houle énergétique de Nord-Est avec des périodes de 10 à 12s se maintient avec des creux moyens entre 0m50 et 1m00. Elle devrait s’atténuer avec des creux moyens à la baisse mais l’agitation devrait perdurer.
En mer, des “sollicitations de mouillage des bateaux”, des “déferlements de rouleaux sur les côtes exposées” et des “submersions localisées sur les zones basses du littoral, notamment du Prêcheur à Grand-Rivière” sont attendus.
Au houlographe de Basse-Pointe, Météo France observe des hauteurs moyennes de l’ordre de 1m30 à 1m80 avec des périodes de l’ordre 12 à 14s, les hauteurs maximales atteignent 2m40. (Attention, ce houlographe est situé en Atlantique et non en Caraïbe).
Le littoral Caraïbe de la Martinique est en vigilance jaune pour vagues-submersion ce samedi 16 novembre. “Une longue houle énergétique de Nord va progressivement s’installer avec des périodes comprises entre 12 et 14 secondes”, indique Météo France.
Ce samedi (16 novembre), la façade Caraïbe de la Martinique, entre le Prêcheur et les Trois-Îlets, est placée en vigilance jaune pour vagues-submersion.
Des dépressions circulent sur l’Atlantique Nord et dirigent une longue houle énergétique de secteur Nord sur les Antilles. Quelques trains commencent à déferler sur les côtes du nord de l’île.
Selon Météo France, “cette longue houle énergétique de Nord va progressivement s’installer avec des périodes comprises entre 12 et 14 secondes”.
Elle va prendre une orientation Nord-Nord-Ouest en journée sur la façade Caraïbe, générant des creux moyens de l’ordre de 0m50 entre l’Anse Couleuvre et les Trois-ilets.
Plusieurs effets sont attendus :
Sollicitations du mouillage des bateaux
Déferlements de rouleaux sur les côtes exposées
Submersions localisées sur les zones basses du littoral, notamment au Prêcheur.
La houle du nord “continue de s’atténuer” a observé Météo France en fin de journée ce jeudi 14 novembre 2024. La vigilance jaune pour “vagues-submersion” déclenchée depuis mardi dernier (12 novembre) est donc levée.
Météo France annonce le retour au VERT, après avoir activé la vigilance jaune pour “vagues-submersion” mardi 12 novembre 2024, à cause d’une houle.
Deux jours après, “la mer poursuit son amortissement”, une situationobservée en fin de journée ce jeudi (14 novembre).
La longue houle de secteur Nord-Ouest en Atlantique et sur l’extrême Nord-Caraïbes continue de s’atténuer. Quelques trains de houle sont encore présents avec des périodes de 11 secondes, mais la mer poursuit son amortissement.
Des conditions plus favorables pour la baignade et la navigation devraient être annoncées dans les prochains bulletins de prévisions.
Près de la moitié des espèces de coraux constructeurs de récifs, qui vivent dans les eaux tropicales, sont menacées d’extinction, selon un rapport de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) publié mercredi.
La publication par l’organisme de sa liste rouge actualisée des espèces menacées intervient en pleine COP29 sur le climat à Bakou, en Azerbaïdjan, à laquelle les dirigeants de nombre des pays principaux pollueurs ont décidé de ne pas se rendre.
La hausse des températures d’origine humaine a entraîné des blanchissements massifs de récifs coralliens, menaçant des écosystèmes cruciaux pour la vie marine et les moyens de subsistance des populations qui en dépendent.
Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature, l’UICN, 892 des espèces de coraux constructeurs de récifs, qui vivent dans les eaux chaudes et peu profondes des tropiques, sont menacées d’extinction.
Dans la dernière évaluation, datant de 2008, un tiers de toutes les espèces de coraux étaient menacées d’extinction.
L’UICN est toujours en train d’évaluer les risques qui pèsent sur les coraux qui vivent en eaux froides, plus profondes qui rendent leur étude plus difficile.
L’organisme exhorte les négociateurs à la COP29 à agir rapidement pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.
“Les écosystèmes sains comme les récifs coralliens sont essentiels” aux humains, “apportant nourriture, stabilisant les côtes et stockant du carbone“, a déclaré la directrice générale de l’UICN, Grethel Aguilar.
“Le changement climatique reste la menace principale sur les coraux bâtisseurs de récifs et est en train de dévaster les systèmes naturels dont nous dépendons“, a-t-elle déclaré dans un communiqué.
Les coraux sont également menacés par la pollution, les maladies, la pêche non durable. La plupart des coraux constructeurs de récifs se trouvent dans la région indo-pacifique, comme la grande barrière australienne, qui a subi cette année l’un des pires épisodes de blanchissement qu’elle ait jamais connus.
La liste rouge actualisée de l’UICN comprend les résultats d’une étude sur les coraux constructeurs de récifs dans l’océan Atlantique, publiée mercredi dans le PLOS One journal.
Elle conclut que près d’une espèce sur trois de ce corail atlantique est en danger critique d’extinction, davantage qu’on ne le pensait précédemment.
“Sans décisions adéquates de ceux qui ont le pouvoir de changer cette trajectoire, nous verrons encore davantage de perte de récifs, et la disparition progressive d’espèces de coraux dans des proportions de plus en plus grandes“, a averti David Obura, spécialiste des coraux à l’UICN.
D’ici 2028, la Guadeloupe devrait avoir sa propre Unité de traitement et de valorisation des déchets. Sa création signerait la fin de l’enfouissement, une aberration écologique et sanitaire. D’ailleurs, au nom de la santé et de l’environnement, L’Etat et l’Europe prônent le tri et le recyclage des déchets, majoritairement. Le Syvade a pourtant arrêté son choix sur un projet dont une large part est dédiée à la combustion et la production d’électricité.
Se dirige-t-on, enfin, vers la mise en place d’une Unité de traitement et de valorisation des déchets ménagers et assimilés, à la Gabarre? Une entreprise a été désignée, lors d’un vote de la majorité des membres du Conseil du Syndicat de valorisation des déchets de la Guadeloupe (Syvade), pour la réalisation de cette tant attendue usine: le groupement dont la société Caribéenne de recyclage SARL est mandataire. Cette délibération remonte au 5 novembre dernier.
Le marché correspondant concerne la conception, le financement, la construction, puis l’exploitation de l’Unité; ce, moyennant un coût total de 96,5 millions d’euros.
Mais le projet ne répond pas aux exigences européennes, auxquelles doit se conformer l’Etat, pour contribuer financièrement.
Le projet a maintes fois été avorté, ces quarante dernières années. Pourtant, il est la clé de l’arrêt définitif de l’enfouissement dans l’archipel. D’ores et déjà, le Syvade annonce pouvoir en finir avec cette méthode de gestion des déchets d’un autre temps, dangereuse pour la santé et l’environnement, d’ici 2028. Trois ans sont nécessaires pour le chantier de création de l’Unité.
Le projet du groupement représenté par la Caribéenne de recyclage SARL, selon le cahier des charges, prévoit la reprise du personnel du Syvade, ainsi que la “territorialisation de notre économie” se réjouit Dominique Biras. Il implique des entrepreneurs locaux et prévoit le développement de l’insertion. 32 emplois sont prévus ; des centaines d’autres travailleurs indirects seront impliquées.
Le candidat permet à des entreprises locales d’accéder à cette commande publique. Au-delà, le projet permet de répondre à une urgence: ne plus enfouir les déchets. L’enfouissement est une calamité pour la population et pour l’environnement.
Dominique Biras, président du Syvade
Le Syvade parle aussi d’une “réponse structurante à une gestion vertueuse de nos déchets, au dérèglement climatique et à l’urgence d’engager la transition énergétique”.
Mais, concernant ce qu’il serait bon de faire pour préserver l’environnement, les avis du Syvade et de la préfecture de la Guadeloupe diffèrent.
Dans un courrier daté du 24 octobre dernier, le préfet Xavier Lefort dit regretter manquer d’informations techniques sur les combustibles solides de récupération (CSR). Le Comité technique prévu sur le sujet n’a pas eu lieu. Le Comité de pilotage manque donc d’éléments pour trancher quant à une éventuelle mobilisation d’aides financières publiques, nationales ou européennes.
La Palais d’Orléans de Basse-Terre prône prioritairement, conformément à la réglementation européenne, le tri et le recyclage matière des déchets, à hauteur, a minima de 70%.
Le Syvade, lui, a opté pour une part majoritaire de valorisation énergétique, à savoir la combustion des déchets pour produire de l’électricité, en l’occurrence par Albioma. “Elle pourrait contribuer à réduire le taux d’enfouissement, à développer la filière CSR et à faireprogresser la transition énergétique”, argumente Dominique Biras dans une réponse écrite adressée à la préfecture le 31 octobre. Pour autant, les remarques du préfet ont bien été entendues, affirme le président du Syvade
Force est de constater que les parties ne sont pas sur la même longueur d’onde, dans la mesure où le projet du Syvade est nommé, sur certains documents, “Usine CSR“; la combustion est donc bien la priorité du syndicat, contrairement à l’exigence de l’Etat et de l’Europe.
Or, si les fonds manquent et faute de sécurisation financière du projet, les administrés pourraient être mis à contribution, pour assumer les coûts d’investissement et de traitement des déchets, via la taxe d’enlèvement des ordures ménagères, met en garde Xavier Lefort.
Ce mardi 12 novembre, Météo-France a émis une vigilance jaune pour “vagues-submersion” pour le littoral Nord-Caraïbe de la Martinique, en raison d’une houle énergétique. Les habitants des zones côtières, notamment au nord de l’île, sont appelés à la prudence.
La côte Nord-Ouest de la Martinique est placée en vigilance jaune ce mardi (12 novembre) pour “vagues-submersion”. L’alerte a été déclenchée par Météo-France pour la sécurité des zones côtières.
Un puissant anticyclone présent en Atlantique Nord, dirige une longue houle énergétique de secteur Nord sur les Antilles. Cette longue houle énergétique de Nord déferle sur le Nord des Antilles, avec des périodes significatives, atteignant 13 à 15 secondes.
le Centre Météorologique de Martinique
Les rivages du nord de l’île, notamment la côte Atlantique et la côte Nord Caraïbe, sont les plus exposés. Des creux moyens de 0,5 à 1 mètre sont attendus entre le Prêcheur et l’Anse Céron, avec une houle orientée du Nord-Est au Nord-Nord-Ouest.
Les effets de cette houle se feront particulièrement sentir sur les embarcations et les zones basses du littoral. Des sollicitations du mouillage des bateaux, des déferlements de rouleaux sur les côtes exposées et des submersions localisées, notamment au Prêcheur, sont possibles.
La houle devrait progressivement s’atténuer mercredi (13 novembre), selon les prévisions de Météo-France. En attendant, il est recommandé de rester attentif aux informations météorologiques et de faire preuve d’une grande prudence lors des activités nautiques dans les zones concernées.
Ce mardi 12 novembre, Météo-France a émis une vigilance jaune pour “vagues-submersion” pour le littoral Nord-Caraïbe de la Martinique, en raison d’une houle énergétique. Les habitants des zones côtières, notamment au nord de l’île, sont appelés à la prudence.
La côte Nord-Ouest de la Martinique est placée en vigilance jaune ce mardi (12 novembre) pour “vagues-submersion”. L’alerte a été déclenchée par Météo-France pour la sécurité des zones côtières.
Un puissant anticyclone présent en Atlantique Nord, dirige une longue houle énergétique de secteur Nord sur les Antilles. Cette longue houle énergétique de Nord déferle sur le Nord des Antilles, avec des périodes significatives, atteignant 13 à 15 secondes.
le Centre Météorologique de Martinique
Les rivages du nord de l’île, notamment la côte Atlantique et la côte Nord Caraïbe, sont les plus exposés. Des creux moyens de 0,5 à 1 mètre sont attendus entre le Prêcheur et l’Anse Céron, avec une houle orientée du Nord-Est au Nord-Nord-Ouest.
Les effets de cette houle se feront particulièrement sentir sur les embarcations et les zones basses du littoral. Des sollicitations du mouillage des bateaux, des déferlements de rouleaux sur les côtes exposées et des submersions localisées, notamment au Prêcheur, sont possibles.
La houle devrait progressivement s’atténuer mercredi (13 novembre), selon les prévisions de Météo-France. En attendant, il est recommandé de rester attentif aux informations météorologiques et de faire preuve d’une grande prudence lors des activités nautiques dans les zones concernées.